En mai la nature explose et c’est un des meilleurs mois de l’année pour les adeptes de la pêche à la mouche.
Après un hiver et un début de printemps bien arrosés, les débits de l’Elorn sont au top (pourvu que çà dure !) et les éclosions de grosses éphémères débutent. Dame fario est de plus en plus active.
Des habitués de la rivière nous ont part de belles parties de pêche, tant en nombre qu’en taille.
L’ Elorn reste un cours d’eau de qualité pour la truite, malgré la prédation opérée par le grand cormoran et autres atteintes environnementales. Cette richesse salmonicole est un sujet de grande
satisfaction et un encouragement pour les gestionnaires du cours d’eau, d’autant que les sujets de satisfaction dans le domaine de la biodiversité se font hélas de plus en plus rares, notamment lorsqu’on observe l’écroulement des montaisons de saumons de printemps. Un phénomène observé dans tous les pays de l’ouest de l’Espagne jusqu’en Ecosse.